Les morts heureuses

Le dernier souffle à travers un sourire, le trépas dans la joie : la mort n’a jamais été aussi charmante que sous la plume d’Edmond Lepelletier (1846-1913). Quatorze nouvelles pour quatorze morts heureuses, souvent drôles, parfois touchantes, qui nous promènent à travers les siècles et les paysages, des cabarets de Paris aux hôtels particuliers de province, du campement antique d’Attila aux gymnases de la modernité naissante. En savoir plus.

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Depuis la fondation

La modernité court et nous échappe : ses formes, celles des trains, des villes, des usines, esquivent les regards comme les mots. Depuis la fondation est un long poème en prose poétique qui cherche à traduire dans le langage les formes de cette modernité inaccessible. Petit à petit, après le bruit des cimentiers et le pas des maçons, le langage et les images s’infiltrent dans les rues à mesure que celles-ci sont habitées, prises par les habitudes, et se révèlent être le stade ultime et nécessaire pour achever la construction de la ville. En savoir plus et lire ce texte.

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Coronameron

Afin d’occuper les longues soirées du premier confinement, près d’une dizaine de contributeurs se sont astreints à renouveler l’expérience de Boccace et à écrire ou dessiner (presque) tous les jours sur un thème imposé. À l’issue du confinement, tandis que l’ensemble des contributions a été publié en ligne, une édition de quelques textes choisis a été réalisée, avec quelques-unes des plus belles illustrations de Marion Messador. 

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